Les Charmilles

Aidants face à la maladie de Parkinson : le choix de l'EHPAD

  • 1 octobre 2025
  • Non classé

Lorsqu’un proche est atteint de la maladie de Parkinson, c’est un vrai bouleversement. Les tremblements, la lenteur, la fatigue, la voix qui se fait plus discrète… tout le quotidien se désorganise… Puis se réorganise ! À la résidence Les Charmilles, maison de retraite à Libourne, nous savons en effet que cette maladie touche autant la personne âgée que l’aidant. Alors, lorsque les journées deviennent trop lourdes à porter, envisager un EHPAD pour Parkinson n’est en aucun cas un renoncement : c’est un choix judicieux. De protection, de soins adaptés et de sérénité partagée.

Les Charmilles
Votre espace de vie au cœur de Libourne

Comprendre la maladie de Parkinson, au-delà des tremblements

Dans l’imaginaire collectif, la maladie de Parkinson rime avec tremblements. Pourtant, cette pathologie ne se résume ni à cela, ni à la rigidité ou aux troubles de l’équilibre.

Parkinson évolue par phases, avec des périodes que l’on pourrait qualifier de « ON/OFF », où l’efficacité des traitements fluctue. La maladie associe généralement :

  • Des symptômes moteurs : lenteur (bradykinésie), rigidité, troubles de l’équilibre, « freezing » (blocages de la marche), propension à la fatigue.
  • Des symptômes non moteurs : trouble de la déglutition, constipation, douleur, anxiété, apathie, troubles du sommeil, baisse de la voix, difficultés d’attention.

Au fil du temps, l’organisation des soins portés à la personne âgée devient exigeante : les prises médicamenteuses sont millimétrées, il faut veiller à la prévention des chutes, procéder à des ajustements alimentaires… C’est là que l’expertise d’une résidence senior à Libourne comme Les Charmilles fait la différence.

Quand envisager un EHPAD pour Parkinson ?

Si chaque histoire est unique, quelques signaux convergent lorsqu’il s’agit d’appréhender la maladie de Parkinson :

  • Chutes ou “presque-chutes” répétées, appréhension de la marche.
  • Troubles de la déglutition et repas qui s’éternisent (fausses routes, amaigrissement du senior).
  • Anxiété croissante de la personne âgée, nuits difficiles, vagabondage nocturne.
  • Épuisement de l’aidant, souvent associé à un isolement très lourd à porter et le sentiment de « ne plus y arriver ».

L’entrée en EHPAD peut alors être envisagé comme une solution temporaire (séjour de répit, convalescence) ou plus durable. Dans tous les cas, elle se prépare avec la famille et le futur résident, pas à pas.

Parkinson en EHPAD : ce qui compte au quotidien, à la résidence Les Charmilles

1) Le médicament… à l’heure près

Avec Parkinson, « l’heure c’est l’heure » ! À la résidence Les Charmilles, la distribution est millimétrée : piluliers sécurisés, rappels, surveillance des effets, coordination avec le médecin traitant et le neurologue. L’objectif : réduire les périodes « OFF » du syndrome et soutenir l’autonomie quand le traitement est au pic d’efficacité.

2) Kinésithérapie et psychomotricité ciblées

La mobilité se travaille, même en douceur, même à un âge avancé. Les séances de kiné et de psychomotricité proposées par les équipes des Charmilles visent à améliorer :

  • l’amplitude des gestes (exercices « grands mouvements »)
  • l’équilibre, notamment avec des stratégies anti-freezing (repères visuels au sol, comptage rythmique)
  • la gestion des chutes (apprentissage de la chute contrôlée et du relevé sécurisé)

En résumé, on bouge, on réapprend, on progresse !

En savoir plus sur notre équipe pluridisciplinaire

Les soignants des Charmilles réunis autour d’un atelier de formation en EHPAD

3) Orthophonie : voix, respiration, déglutition

Parkinson touche aussi la voix (hypophonie), et parfois la déglutition. Aux Charmilles, notre orthophoniste travaille donc la projection vocale, la respiration, la diction et propose des exercices de déglutition aux résidents atteints de la maladie de Parkinson. En cas de besoin, les repas passent en texture adaptée (hachée, mixée), mais dont les saveurs restent travaillées, pour préserver le plaisir de manger.

4) Nutrition : l’assiette comme alliée du malade de Parkinson

Face au syndrome, un autre enjeu revient souvent : la constipation. En pratique, on enrichit l’assiette en fibres et en hydratation, on fractionne si nécessaire, et l’on décale une partie des protéines au repas du soir si recommandé médicalement. Le but : énergie le jour, confort la nuit, et un maximum d’efficacité thérapeutique.

Alimentation et nutrition adaptée pour gérer Parkinson en EHPAD

5) Activité physique adaptée, danse et rythme

La gym douce en petit groupe relance coordination, posture et confiance. Tout aussi adaptées aux personnes âgées atteintes de la maladie de Parkinson, la marche rythmée, la musique, parfois la danse-thérapie, redonnent de l’élan et « débloquent » le pas. A l’EHPAD Les Charmilles, on veille à travailler cet équilibre tout en recréant de la joie – parce que le moral, ça compte autant que les muscles !

6) Aides techniques et environnement sécurisant

Aux Charmilles, l’aménagement est pensé pour réduire le risque de chute : sols antidérapants, barres d’appui, éclairages repères, fauteuils adaptés. Côté autonomie, au besoin, la résidence propose des couverts lestés, des verres ergonomiques, et autres chaussures stables… De petites astuces qui changent le quotidien d’une journée.

Et les aidants dans tout ça ? Jamais seuls.

Être aidant, c’est aimer si fort… qu’on se fatigue parfois jusqu’à s’oublier. À la résidence Les Charmilles, les proches retrouvent une place plus facile à vivre : des temps d’échanges réguliers, des repères clairs sur les soins, un soutien pour traverser les phases difficiles.

Sachez une chose : le répit n’est pas un luxe.

C’est une condition pour que l’accompagnement de l’aidant s’inscrive vraiment dans la durée. Face à la maladie de Parkinson, nous vous aidons à envisager un séjour temporaire si besoin, ou une entrée progressive pour apprivoiser le changement.

La FAQ express des familles !

Parkinson en EHPAD = perte d’autonomie immédiate ?

Non. L’objectif est au contraire de soutenir l’autonomie : sécuriser, réentraîner, adapter.

Peut-on venir aux activités ou aux repas de son proche ?

Oui, quand c’est possible, la présence des familles renforce le moral et l’envie d’agir.

Et si la maladie évolue ?

On réévalue le projet d’accompagnement personnalisé, on réajuste les soins, on accompagne chaque nouvelle étape avec clairvoyance et bienveillance.

Zoom sur la prise en charge Parkinson aux Charmilles : technique, humaine et coordonnée

Choisir notre maison de retraite à Libourne lorsque l’on est confronté à la maladie de Parkinson, c’est miser sur :

  • Une équipe pluridisciplinaire (médecins intervenants, IDE, aides-soignantes, kiné, psy, psychomot’, orthophoniste, animateur) qui se parle et agit de concert.
  • Un projet d’accompagnement personnalisé : vos objectifs, vos habitudes, vos besoins.
  • Des activités sur-mesure : expression artistique, gym douce, ateliers mémoire, musicothérapie, jardin, médiation animale, sorties dans l’environnement proche quand c’est possible.
  • Un rythme respecté : on aménage les temps de repos, on profite des périodes « ON » de la personne âgée pour bouger, et on s’économise en « OFF ».
  • Une communication transparente avec la famille, pour des décisions partagées.

Découvrez les Charmilles

Moment de répit pour un aidant et son proche âgé en résidence senior à Libourne

Pourquoi Les Charmilles à Libourne ?

Parce qu’ici, à Libourne, l’équipe avance avec vous ! Ecoute, exigence, bienveillance… Notre ambition est simple : faire de l’EHPAD un lieu où l’on soigne une personne plutôt qu’une maladie.

Aux Charmilles, chaque progrès – même discret – mérite d’être salué. Chaque soignant est écouté et impliqué. Chaque aidant retrouve un peu de souffle et des moments pour se reposer. Envie d’échanger sur la situation de votre proche ? Parlons-en, simplement. La résidence Les Charmilles est là pour vous guider – étape par étape – vers un accompagnement de la maladie de Parkinson le plus serein possible.

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